Le bouton « j’aime pas » c’est non pour Mark Zuckerberg !
JPublier le 12 decembre 2014 a 18h30
Pour Mark Zuckerberg, l’affaire est close, il n’y aura pas de bouton « j’aime pas » sur Facebook.
À l’arrivée de Facebook, deux fonctionnalités nouvelles faisaient leur apparition. Le fameux « poke », dont on n’a jamais vraiment trouvé l’utilité jusqu’à maintenant, et le bouton « j’aime »devenu LA marque de fabrique du réseau social de Mark Zuckerberg ! Mais certains grognons pestent contre le fait qu’il faille à tout prix aimer ce que nos contacts publient sur le mur, et qu’à part un commentaire acerbe, il n’y ai pas de possibilité de « ne pas aimer » ce que l’on voit défiler sur notre fil d’actualité Facebook.
C’est sans doute pour cela que tous les 6 mois, la rumeur de l’apparition d’un bouton « j’aime pas » ressort. Mais cette fois, c’est Mark Zuckerberg en personne qui annonce que cette fonctionnalité ne verra pas le jour sur Facebook.
Mark Zuckerberg n’aime pas le bouton « j’aime pas » !
Dans une séance de questions/réponses auprès d’utilisateurs de Facebook et diffusée sur le net, le créateur du réseau social a tenu à clarifier les choses concernant l’éventualité de l’apparition d’un bouton « j’aime pas » sur les publications. Lui et ses équipes y réfléchissent souvent et pour Zuckerberg la question est déjà tranchée.
« Le bouton “J’aime” est très utile parce que c’est une façon pour vous d’exprimer très rapidement une émotion positive […] Et, vous le savez, des gens ont demandé un
bouton “J’aime pas” parce qu’ils veulent avoir la possibilité de dire “ceci n’est pas bien”. Ce n’est pas une chose que nous pensons bonne pour le monde. Donc nous n’allons pas créer cela » a-t-il répondu lorsque la question lui a été posée.
Facebook réfléchit à une solution plus sympathique pour les publications « non aimables »
Le créateur de Facebook est toutefois conscient que le seul bouton « j’aime » ne suffit pas et est inapproprié à certaines situations. Notamment lors d’une publication concernant le décès d’un proche par exemple.
Dans ce cas, il penserait plutôt à un bouton qui pourrait
« Donner la possibilité aux gens de pouvoir faire ça avec plus d’émotions serait puissant, mais nous avons besoin de cerner la bonne façon de le faire de sorte que ce soit une force positive, et non une force négative et humiliante pour les gens qui se confient. »
source:begeek